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100%: Michel Priziac: Les noms racontent la nature (ISBN: 9782917574270) 2015, SoLivres.com, SoLivres.com, SoLivres.com, in Französisch, auch als eBook.Nur diese Ausgabe anzeigen…
100%: Michel Priziac: Les noms racontent la nature (ISBN: 9782917574010) in Französisch.Nur diese Ausgabe anzeigen…
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Les noms racontent la nature (2015)
FR NW EB DLISBN: 9782917574270 bzw. 2917574275, in Französisch, SoLivres.com, SoLivres.com, SoLivres.com, neu, E-Book, elektronischer Download.
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Il y a des millions d'années, la Terre abordait SA longue vie au service des êtres leur offrant clos, couvert et nourriture. Généreuse, tolérante, prêteuse, elle a, en Mère, donné à ses enfants ce dont ils ont eu besoin pour grandir, s'épanouir, se reproduire et pour coexister en SA surface OU en son sein. A toutes vies, végétales ou animales, elle a ouvert les bras. A tous, elle a confié les moyens de s'adapter et le soin de lui rendre, en retour, suffisamment de force pour durer. Tant de millénaires lui ont réussi mais hélas, au siècle vingtième après Jésus Christ, l'un de ses enfants - l'Humain - s'est pris d'une supériorité si égoïste qu'il s'est adjugé le droit de piller, de détruire pour de l'argent et de tuer sans nécessité. Le massacreur de SA mère La Terre, pris lui-même à la gorge, devrait faire amende honorable mais non! Il se fait donneur de leçons en expliquant aux jeunes, aux vieux, aux âges moyens, autant dire à tout le monde qu'il faut respecter la bonne Mère. Lui, par contre, s'arroge le droit personnel de s'en exonérer sans en mesurer les conséquences. Que ne ferait-il pour être le plus riche du cimetière? 12 000 ans, environ, ont passé depuis que le genre humain s'est senti concerné par les disparus de sa tribu. Il s'est découvert la capacité de reconnaître la mémoire de quelqu'un et de l'honorer au-delà de sa mort. En conséquence, ses biens précieux doivent l'accompagner dans son autre Monde. L'endroit où il va demeurer désormais doit être protégé par une sépulture qui sert aussi à le localiser et à le retrouver dès lors que ses proches auront envie de lui rendre visite. Aux temps où l'Homme devait se déplacer pour se nourrir, retrouver un endroit, nécessairement en pleine nature, s'avérait délicat à moins d'utiliser des montagnes ou des cours d'eau. C'est ce qui fut fait en adoptant deux mots qui ont traversé les siècles sous moultes variantes locales. Ce sont "onna" pour l'eau et le cours d'eau; "car" pour la montagne rocheuse, pour.
Il y a des millions d'années, la Terre abordait SA longue vie au service des êtres leur offrant clos, couvert et nourriture. Généreuse, tolérante, prêteuse, elle a, en Mère, donné à ses enfants ce dont ils ont eu besoin pour grandir, s'épanouir, se reproduire et pour coexister en SA surface OU en son sein. A toutes vies, végétales ou animales, elle a ouvert les bras. A tous, elle a confié les moyens de s'adapter et le soin de lui rendre, en retour, suffisamment de force pour durer. Tant de millénaires lui ont réussi mais hélas, au siècle vingtième après Jésus Christ, l'un de ses enfants - l'Humain - s'est pris d'une supériorité si égoïste qu'il s'est adjugé le droit de piller, de détruire pour de l'argent et de tuer sans nécessité. Le massacreur de SA mère La Terre, pris lui-même à la gorge, devrait faire amende honorable mais non! Il se fait donneur de leçons en expliquant aux jeunes, aux vieux, aux âges moyens, autant dire à tout le monde qu'il faut respecter la bonne Mère. Lui, par contre, s'arroge le droit personnel de s'en exonérer sans en mesurer les conséquences. Que ne ferait-il pour être le plus riche du cimetière? 12 000 ans, environ, ont passé depuis que le genre humain s'est senti concerné par les disparus de sa tribu. Il s'est découvert la capacité de reconnaître la mémoire de quelqu'un et de l'honorer au-delà de sa mort. En conséquence, ses biens précieux doivent l'accompagner dans son autre Monde. L'endroit où il va demeurer désormais doit être protégé par une sépulture qui sert aussi à le localiser et à le retrouver dès lors que ses proches auront envie de lui rendre visite. Aux temps où l'Homme devait se déplacer pour se nourrir, retrouver un endroit, nécessairement en pleine nature, s'avérait délicat à moins d'utiliser des montagnes ou des cours d'eau. C'est ce qui fut fait en adoptant deux mots qui ont traversé les siècles sous moultes variantes locales. Ce sont "onna" pour l'eau et le cours d'eau; "car" pour la montagne rocheuse, pour.
Lade…