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100%: Bernard Conte: La Tiers-Mondialisation De La Planète (ISBN: 9791030009057) Presses Universitaires de Bordeaux, in Französisch, auch als eBook.Nur diese Ausgabe anzeigen…
100%: Bernard Conte: La Tiers-Mondialisation de la planète (ISBN: 9782867815744) 2009, Presses universitaires de Bordeaux, Presses universitaires de Bordeaux, Presses universitaires de Bordeaux, in Französisch, auch als eBook.Nur diese Ausgabe anzeigen…
100%: Bernard Conte: La Tiers-Mondialisation De La Planète (ISBN: 9782867818059) 2013, Presses Universitaires de Bordeaux, 2. Ausgabe, in Französisch, Taschenbuch.Nur diese Ausgabe anzeigen…
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Tiers mondialisation de la planete (2013)
FR PB USISBN: 9782867818059 bzw. 2867818052, in Französisch, 283 Seiten, Presses Universitaires de Bordeaux, Taschenbuch, gebraucht.
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Von Händler/Antiquariat, Prestivo3.
La Tiers-Mondialisation de la planète 2e édition revue et corrigée La Tiers-Mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés. On peut diversement décrire ce phénomène: « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre depuis le milieu des années 1970. Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation. Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en oeuvre buta sur l'obstacle politique, l'ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée. L'économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s'épuise et la classe moyenne est en voie d'euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c'est la Tiers-Mondialisation de la planète. Écrit dans un style abordable, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique ». Paperback, Étiquette: Presses Universitaires de Bordeaux, Presses Universitaires de Bordeaux, Groupe de produits: Book, Publié: 2013, Studio: Presses Universitaires de Bordeaux.
Von Händler/Antiquariat, Prestivo3.
La Tiers-Mondialisation de la planète 2e édition revue et corrigée La Tiers-Mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés. On peut diversement décrire ce phénomène: « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre depuis le milieu des années 1970. Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation. Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en oeuvre buta sur l'obstacle politique, l'ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée. L'économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s'épuise et la classe moyenne est en voie d'euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c'est la Tiers-Mondialisation de la planète. Écrit dans un style abordable, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique ». Paperback, Étiquette: Presses Universitaires de Bordeaux, Presses Universitaires de Bordeaux, Groupe de produits: Book, Publié: 2013, Studio: Presses Universitaires de Bordeaux.
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Tiers mondialisation de la planete (2013)
FR PB NWISBN: 9782867818059 bzw. 2867818052, in Französisch, 283 Seiten, Presses Universitaires de Bordeaux, Taschenbuch, neu.
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Von Händler/Antiquariat, Mémoire des hommes.
La Tiers-Mondialisation de la planète 2e édition revue et corrigée La Tiers-Mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés. On peut diversement décrire ce phénomène: « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre depuis le milieu des années 1970. Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation. Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en oeuvre buta sur l'obstacle politique, l'ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée. L'économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s'épuise et la classe moyenne est en voie d'euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c'est la Tiers-Mondialisation de la planète. Écrit dans un style abordable, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique ». Paperback, Étiquette: Presses Universitaires de Bordeaux, Presses Universitaires de Bordeaux, Groupe de produits: Book, Publié: 2013, Studio: Presses Universitaires de Bordeaux.
Von Händler/Antiquariat, Mémoire des hommes.
La Tiers-Mondialisation de la planète 2e édition revue et corrigée La Tiers-Mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés. On peut diversement décrire ce phénomène: « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre depuis le milieu des années 1970. Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation. Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en oeuvre buta sur l'obstacle politique, l'ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée. L'économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s'épuise et la classe moyenne est en voie d'euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c'est la Tiers-Mondialisation de la planète. Écrit dans un style abordable, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique ». Paperback, Étiquette: Presses Universitaires de Bordeaux, Presses Universitaires de Bordeaux, Groupe de produits: Book, Publié: 2013, Studio: Presses Universitaires de Bordeaux.
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La Tiers-Mondialisation de la planète (2009)
FR NW EB DLISBN: 9782867815744 bzw. 2867815746, in Französisch, Presses universitaires de Bordeaux, Presses universitaires de Bordeaux, Presses universitaires de Bordeaux, neu, E-Book, elektronischer Download.
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La Tiers-Mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l'état du Tiers-monde d'avant les miracles. On peut diversement décrire ce phénomène: prolétarisation des classes moyennes, classes moyennes à la dérive, déclassement. Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en auvre depuis le milieu des années 1970.Le libéralisme régulé des Trente Glorieuses fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation. Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels: la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en auvre buta sur l'obstacle politique, l'ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une économie sociale de marché purifiée. L'économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s'épuise et la classe moyenne est en voie d'euthanasie. La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres: c'est la Tiers-Mondialisation de la planète. Écrit dans un style abordable évitant le jargon économique, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la pensée unique.
La Tiers-Mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l'état du Tiers-monde d'avant les miracles. On peut diversement décrire ce phénomène: prolétarisation des classes moyennes, classes moyennes à la dérive, déclassement. Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en auvre depuis le milieu des années 1970.Le libéralisme régulé des Trente Glorieuses fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation. Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels: la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en auvre buta sur l'obstacle politique, l'ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une économie sociale de marché purifiée. L'économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s'épuise et la classe moyenne est en voie d'euthanasie. La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres: c'est la Tiers-Mondialisation de la planète. Écrit dans un style abordable évitant le jargon économique, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la pensée unique.
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La Tiers-Mondialisation De La Planète (1970)
~FR NW EBISBN: 9791030009057 bzw. 1030009058, vermutlich in Französisch, neu, E-Book.
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La Tiers-Mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l'état du Tiers-monde d'avant les « miracles ». On peut diversement décrire ce phénomène : « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre depuis le milieu des années 1970.Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation.Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en oeuvre buta sur l'obstacle politique, l'ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée.L'économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s'épuise et la classe moyenne est en voie d'euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c'est la Tiers-Mondialisation de la planète.Écrit dans un style abordable évitant le jargon économique, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique »., En-tête / Compatibilité=Liseuse;En-tête / Compatibilité=Android;En-tête / Compatibilité=iOS;En-tête / Compatibilité=Windows;En-tête / Compatibilité=Desktop;Livres / Langue=Français;Livres / Format=Epub2;EAN_Fiches_Privées=9791030009057;linkToKoboProduct=h.
La Tiers-Mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l'état du Tiers-monde d'avant les « miracles ». On peut diversement décrire ce phénomène : « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre depuis le milieu des années 1970.Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation.Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en oeuvre buta sur l'obstacle politique, l'ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée.L'économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s'épuise et la classe moyenne est en voie d'euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c'est la Tiers-Mondialisation de la planète.Écrit dans un style abordable évitant le jargon économique, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique »., En-tête / Compatibilité=Liseuse;En-tête / Compatibilité=Android;En-tête / Compatibilité=iOS;En-tête / Compatibilité=Windows;En-tête / Compatibilité=Desktop;Livres / Langue=Français;Livres / Format=Epub2;EAN_Fiches_Privées=9791030009057;linkToKoboProduct=h.
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La Tiers-Mondialisation de la planète (2009)
~FR NWISBN: 9791030009057 bzw. 1030009058, vermutlich in Französisch, Presses Universitaires de Bordeaux, neu.
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La Tiers-Mondialisation de la planète, c’est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l’ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l’état du Tiers-monde d’avant les « miracles ». On peut diversement décrire ce phénomène : « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en œuvre depuis le milieu des années 1970.Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l’implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s’orienta vers la financiarisation et la dérégulation.Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en œuvre buta sur l’obstacle politique, l’ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée.L’économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s’épuise et la classe moyenne est en voie d’euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c’est la Tiers-Mondialisation de la planète.Écrit dans un style abordable évitant le jargon économique, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique ». La Tiers-Mondialisation de la planète, c’est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l’ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l’état du Tiers-monde d’avant les « miracles ». On peut diversement décrire ce phénomène : « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en œuvre depuis le milieu des années 1970.Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l’implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s’orienta vers la financiarisation et la dérégulation.Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en œuvre buta sur l’obstacle politique, l’ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée.L’économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s’épuise et la classe moyenne est en voie d’euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c’est la Tiers-Mondialisation de la planète.Écrit dans un style abordable évitant le jargon économique, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique ». Inhoud:Taal: Franstalig;Bindwijze: E-book;Druk: 1;Verschijningsdatum: juni 2009;Ebook formaat: Adobe ePub; Betrokkenen:Auteur(s): Bernard Conte;Uitgever: Presses Universitaires de Bordeaux; Lees mogelijkheden:Lees dit ebook op: Android (smartphone en tablet) | Kobo e-reader | Desktop (Mac en Windows) | iOS (smartphone en tablet) | Windows (smartphone en tablet);Ebook formaat: Adobe ePub; EAN: Overige kenmerken:Studieboek: Nee; Franstalig | Druk: 1 | E-book | 9791030009057.
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La Tiers-Mondialisation de la planète, c’est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l’ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l’état du Tiers-monde d’avant les « miracles ». On peut diversement décrire ce phénomène : « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en œuvre depuis le milieu des années 1970.Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l’implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s’orienta vers la financiarisation et la dérégulation.Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en œuvre buta sur l’obstacle politique, l’ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée.L’économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s’épuise et la classe moyenne est en voie d’euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c’est la Tiers-Mondialisation de la planète.Écrit dans un style abordable évitant le jargon économique, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique ». La Tiers-Mondialisation de la planète, c’est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l’ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l’état du Tiers-monde d’avant les « miracles ». On peut diversement décrire ce phénomène : « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en œuvre depuis le milieu des années 1970.Le libéralisme régulé des « Trente Glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud. Puis la crise des années 1970 et l’implosion du bloc soviétique changèrent la donne et le capitalisme s’orienta vers la financiarisation et la dérégulation.Dans un premier temps, le monétarisme inspira les ajustements structurels : la désinflation compétitive au Nord et les programmes du consensus de Washington au Sud. Quand leur mise en œuvre buta sur l’obstacle politique, l’ordolibéralisme prit le relais et entreprit, sur la base du post-consensus de Washington, de diffuser mondialement une « économie sociale de marché » purifiée.L’économique et le social sont alors progressivement déconnectés du politique, la démocratie devient virtuelle, la redistribution s’épuise et la classe moyenne est en voie d’euthanasie... La dynamique du capitalisme financiarisé globalise la structure sociale fortement dualisée des pays les plus pauvres : c’est la Tiers-Mondialisation de la planète.Écrit dans un style abordable évitant le jargon économique, cet ouvrage est destiné au lecteur soucieux de décrypter les liens entre politique, économique et social, sous un éclairage différent de celui que propose la « pensée unique ». Inhoud:Taal: Franstalig;Bindwijze: E-book;Druk: 1;Verschijningsdatum: juni 2009;Ebook formaat: Adobe ePub; Betrokkenen:Auteur(s): Bernard Conte;Uitgever: Presses Universitaires de Bordeaux; Lees mogelijkheden:Lees dit ebook op: Android (smartphone en tablet) | Kobo e-reader | Desktop (Mac en Windows) | iOS (smartphone en tablet) | Windows (smartphone en tablet);Ebook formaat: Adobe ePub; EAN: Overige kenmerken:Studieboek: Nee; Franstalig | Druk: 1 | E-book | 9791030009057.
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La tiers-mondialisation de la planète (2013)
FR NWISBN: 9782867818059 bzw. 2867818052, in Französisch, 283 Seiten, 2. Ausgabe, Presses Universitaires de Bordeaux, neu.
Lieferung aus: Frankreich, Expédition sous 1 à 2 jours ouvrés, Frais d’expédition réels peuvent différer.
Von Händler/Antiquariat, TGL Harmattan.
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La tiers-mondialisation de la planète (2013)
FR USISBN: 9782867818059 bzw. 2867818052, in Französisch, 283 Seiten, 2. Ausgabe, Presses Universitaires de Bordeaux, gebraucht.
Lieferung aus: Frankreich, Expédition sous 1 à 2 jours ouvrés, Frais d’expédition réels peuvent différer.
Von Händler/Antiquariat, BIBLIO-NET.
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La Tiers-Mondialisation De La Planète (2013)
FR USISBN: 9782867818059 bzw. 2867818052, in Französisch, gebraucht.
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La Tiers-Mondialisation De La Planète
FR NWISBN: 9782867815744 bzw. 2867815746, in Französisch, neu.
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